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Anne Quillier et le Pince Oreilles à La Une de Citizen Jazz !

Bulletin posté le 14/05/2017

Anne Quillier et le Collectif Pince-Oreilles étaient à la Une de Citizen Jazz à l'occasion de la sortie du 2ème album du 6tet: DUSTY SHELTERS !
Vous pouvez retrouver ici une interview réalisée en novembre :

http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html
http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html
"Anne Quiller est de ces artistes qui multiplient les collaborations et les projets. La pianiste/organiste officie dans Blast, Watchdog, Asylon Terra, Saint Sadrill, No Mad ?, et bien entendu dans le Anne Quillier sextet. C’est cette formation qui sort son deuxième album en ce début d’année déjà bien rempli. L’occasion de discuter de ce disque, des autres projets, du Collectif Pince-Oreilles,
et de ce qu’implique être musicien professionnel dans un monde en pleine mutation, à la recherche de solutions alternatives."


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Les projets pour 2017 ?
"Oui, plusieurs choses sont à venir !  Watchdog enregistre en juillet, Blast en septembre, et Romain Barret en février avec son trio et deux invités, Florent Brique et Eric Prost. Le Gregory Sallet Quintet a enregistré en novembre, l’album doit sortir en avril."

Tout l'article ici : http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html

par Raphaël Benoit // Publié le 14 mai 2017





Ce n’était pas évident, surtout après un premier album très remarqué, de franchir la périlleuse étape du deuxième album.
Pile deux ans après Daybreak, quelques concerts un peu partout et une poignée de projets d’envergure (Blast, Watchdog, No Mad ?…), le sextet conduit par Anne Quillier est donc de retour avec Dusty Shelters, toujours sur le label du collectif Pince-Oreilles. Pas évident donc, mais pourtant franchi avec l’aisance d’un talent confirmé et l’élégance d’une identité affirmée.
Le propos est abouti, intimiste, voire introspectif. Une musique qui se creuse, laissant apparaître des trésors au fil des huit morceaux de l’album. Tantôt festif sur “Qulture”, tantôt plus sombre voire épique avec « Let Sleeping Dogs Lie », cet album est fait d’histoires, toujours emplies d’émotions. On se laisse volontiers saisir par les images que la musique nous procure, pour nous immerger dans cette atmosphère singulière, un peu comme dans une BD de Manu Larcenet, souvent cité par la pianiste, tant pour Blast qui lui doit son nom que pour les héros injustement méconnus auxquels le sextet rend hommage ici pour la deuxième fois.  Quoi qu’il en soit, on est bien loin d’un Daybreak « bis », et Anne Quillier, qui a décidément des choses à dire et sait s’entourer pour les dire, nous propose ici une nouvelle page. L’interprétation est fluide, et il ne fait pas de doute que ces artistes aiment et maîtrisent l’art du dialogue, de la musique qui se partage. Le tout servi par un son impeccable, avec une fois encore Adrian Bourget aux manettes, qui a su capter et restituer l’énergie du sextet - mention particulière au soin apporté à la batterie de Guillaume Bertrand qui n’a jamais si bien sonné !  Les collaborations qui tiennent dans la durée, on a beau dire, ça donne de belles choses, et ce Dusty Shelters l’illustre parfaitement. Un disque qui devrait permettre au sextet de poursuivre sa belle route en prenant de la hauteur. Rien ne serait plus mérité.
par Raphaël Benoit // Publié le 14 mai 2017


"Issu du collectif Pince Oreilles, basé en région lyonnaise, le sextet d’Anne Quillier a publié un premier disque très réussi, Daybreak (Pince Oreilles, 2015), puis un second, Dusty Shelters, tout aussi excellent. Retour sur leur premier passage au Pannonica.
Lors de leur passage au Pannonica, dans le cadre de la tournée ayant suivi la sortie de Daybreak, nous avions apprécié de les découvrir sur scène, de voir et d’entendre cette joyeuse bande aux prises avec les compositions subtiles, rythmiquement et mélodiquement, signées par la pianiste. Des compositions très personnelles, avec une vraie marque de fabrique. Dès les premières notes, on reconnaît la touche Quillier : des mélodies qui vous accrochent tout de suite, un rythme qui traverse les morceaux et qui en fait toute la richesse.
Surtout, ce qui signe la musique d’Anne Quillier, c’est sa science des tensions/relâches, des surprises, des univers singuliers. La musique de Quillier raconte des histoires avec des mélodies accrocheuses, des rythmiques qui font bouger les pieds, tout en étant très personnelle et complexe dans son architecture."
par Julien Gros-Burdet // Publié le 14 mai 2017 : article entier ici

"Pendant la balance du « Anne Quillier sextette »,
l’après-midi du mercredi 19 août 2015
au festival Jazz Campus En Clunisois.
Le soir, j’ai le souvenir d’un concert aussi généreux que le sourire de la pianiste qui jouait avec
Aurélien Joly (trompette et bugle),
Grégory Sallet (saxophones), Pierre Horckmans (clarinettes),
Michel Molines (contrebasse) et
Guillaume Bertrand (batterie)."

par Frank Bigotte // Publié le 14 mai 2017