Anne Quillier 6tet
Élu Citizen Jazz et Best New Jazz on Bandcamp
et présenté à la une d'Open Jazz!
Lauréat du 36° concours national de Jazz de la Défense
Prix du meilleur groupe
Constitué sous l'impulsion de la pianiste et compositrice Anne Quillier, ce sextet présente un programme moderne et audacieux et réunit des musiciens tous animés par une profonde envie d'explorer l'écriture et l'improvisation.
Anne Quillier : piano
Pierre Horckmans : clarinettes sib et basse
Aurélien Joly : trompette et bugle
Grégory Sallet : saxophones
Michel Molines : contrebasse
Guillaume Bertrand : batterie
The band has been here
Videos
News
Anne Quillier dans Action Jazz
Bulletin posté le 06/11/2017
Anne Quillier était interviewvée ce mois ci dans le magazine Action Jazz.
L'interview est disponible ici: http://fr.calameo.com/read/00289603908fe76fb9f12
Anne Quillier et le Pince Oreilles à La Une de Citizen Jazz !
Bulletin posté le 23/05/2017
Anne Quillier et le Collectif Pince-Oreilles étaient à la Une de Citizen Jazz à l'occasion de la sortie du 2ème album du 6tet: DUSTY SHELTERS !
Vous pouvez retrouver ici une interview réalisée en novembre :
http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html
"Anne Quiller est de ces artistes qui multiplient les collaborations et les projets. La pianiste/organiste officie dans Blast, Watchdog, Asylon Terra, Saint Sadrill, No Mad ?, et bien entendu dans le Anne Quillier sextet. C’est cette formation qui sort son deuxième album en ce début d’année déjà bien rempli. L’occasion de discuter de ce disque, des autres projets, du Collectif Pince-Oreilles,
et de ce qu’implique être musicien professionnel dans un monde en pleine mutation, à la recherche de solutions alternatives."
...
Les projets pour 2017 ?
"Oui, plusieurs choses sont à venir ! Watchdog enregistre en juillet, Blast en septembre, et Romain Barret en février avec son trio et deux invités, Florent Brique et Eric Prost. Le Gregory Sallet Quintet a enregistré en novembre, l’album doit sortir en avril."
Tout l'article ici : http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html
par Raphaël Benoit // Publié le 14 mai 2017
Pile deux ans après Daybreak, quelques concerts un peu partout et une poignée de projets d’envergure (Blast, Watchdog, No Mad ?…), le sextet conduit par Anne Quillier est donc de retour avec Dusty Shelters, toujours sur le label du collectif Pince-Oreilles. Pas évident donc, mais pourtant franchi avec l’aisance d’un talent confirmé et l’élégance d’une identité affirmée.
Le propos est abouti, intimiste, voire introspectif. Une musique qui se creuse, laissant apparaître des trésors au fil des huit morceaux de l’album. Tantôt festif sur “Qulture”, tantôt plus sombre voire épique avec « Let Sleeping Dogs Lie », cet album est fait d’histoires, toujours emplies d’émotions. On se laisse volontiers saisir par les images que la musique nous procure, pour nous immerger dans cette atmosphère singulière, un peu comme dans une BD de Manu Larcenet, souvent cité par la pianiste, tant pour Blast qui lui doit son nom que pour les héros injustement méconnus auxquels le sextet rend hommage ici pour la deuxième fois. Quoi qu’il en soit, on est bien loin d’un Daybreak « bis », et Anne Quillier, qui a décidément des choses à dire et sait s’entourer pour les dire, nous propose ici une nouvelle page. L’interprétation est fluide, et il ne fait pas de doute que ces artistes aiment et maîtrisent l’art du dialogue, de la musique qui se partage. Le tout servi par un son impeccable, avec une fois encore Adrian Bourget aux manettes, qui a su capter et restituer l’énergie du sextet - mention particulière au soin apporté à la batterie de Guillaume Bertrand qui n’a jamais si bien sonné ! Les collaborations qui tiennent dans la durée, on a beau dire, ça donne de belles choses, et ce Dusty Shelters l’illustre parfaitement. Un disque qui devrait permettre au sextet de poursuivre sa belle route en prenant de la hauteur. Rien ne serait plus mérité.
par Raphaël Benoit // Publié le 14 mai 2017
"Issu du collectif Pince Oreilles, basé en région lyonnaise, le sextet d’Anne Quillier a publié un premier disque très réussi, Daybreak (Pince Oreilles, 2015), puis un second, Dusty Shelters, tout aussi excellent. Retour sur leur premier passage au Pannonica.
Lors de leur passage au Pannonica, dans le cadre de la tournée ayant suivi la sortie de Daybreak, nous avions apprécié de les découvrir sur scène, de voir et d’entendre cette joyeuse bande aux prises avec les compositions subtiles, rythmiquement et mélodiquement, signées par la pianiste. Des compositions très personnelles, avec une vraie marque de fabrique. Dès les premières notes, on reconnaît la touche Quillier : des mélodies qui vous accrochent tout de suite, un rythme qui traverse les morceaux et qui en fait toute la richesse.
Surtout, ce qui signe la musique d’Anne Quillier, c’est sa science des tensions/relâches, des surprises, des univers singuliers. La musique de Quillier raconte des histoires avec des mélodies accrocheuses, des rythmiques qui font bouger les pieds, tout en étant très personnelle et complexe dans son architecture."
par Julien Gros-Burdet // Publié le 14 mai 2017 : article entier ici
"Pendant la balance du « Anne Quillier sextette »,
l’après-midi du mercredi 19 août 2015
au festival Jazz Campus En Clunisois.
Le soir, j’ai le souvenir d’un concert aussi généreux que le sourire de la pianiste qui jouait avec
Aurélien Joly (trompette et bugle),
Grégory Sallet (saxophones), Pierre Horckmans (clarinettes),
Michel Molines (contrebasse) et
Guillaume Bertrand (batterie)."
par Frank Bigotte // Publié le 14 mai 2017
DUSTY SHELTERS - 2ème album du Anne Quillier 6tet !
Bulletin posté le 10/01/2017
Le 2ème album DUSTY SHELTERS du Anne Quillier 6tet
enregistré en septembre 2016 au Studio l'Artscène
sortira le 13 janvier 2017
sur le label Pince Oreilles et le distributeur Inouie Distribution!
Aurélien Joly - trompette
Pierre Horckmans - clarinettes Basse, alto et Bb
Grégory Sallet - saxophones alto et soprano
Michel Molines - contrebasse
Guillaume Bertrand - batterie
Prise de son et mixage - Adrian' Bourget
Master - Raphaël Jonin au studio J RAPH ing - France
Pochette - Agnès Ceccaldi
on fêtera ça les
20 janvier 2017 - CHORUS JAZZ CLUB (Lausanne)
16 février 2017 - LE PÉRISCOPE (69)
10 mars 2017 - JAZZ À PAU / TONNERRE DE JAZZ
8 avril 2017 - THÉÂTRE DE CHAMALIÈRES
3 juin 2017 - JAZZ À PRESLES (38)
pour commander l'album :
http://inouiedistribution.org
http://player.believe.fr/v2/3760231761268
https://labelpinceoreilles.bandcamp.com
CANDY DREAM |
LET SLEEPING DOGS LIES |
des disques près de chez vous, voire dans votre boîte aux lettres ?
Bulletin posté le 07/10/2016Bonne nouvelle : les trois prochains disques du Label Pince-Oreilles vont être distribués par InouïeDistribution qui travaille de manière originale et éthique et distribue son catalogue :
- sur les marchés de producteurs locaux
- dans les petits commerces
- dans les boîtes aux lettres des abonnés aux paniers de CDs ! (les abonnés recoivent 1 album tous les mois)
Vous pouvez d'ores et déjà vous abonner à l'AMAP du disque sur leur site internet pour recevoir du Vinyl ou CD ou mp3 tous les mois. Vous trouverez dans leur catalogue des artistes-amis :
Supergombo |
Suissa |
St Sadrill |
nouvel album : Anne Quillier 6tet - DUSTY SHELTERS
Bulletin posté le 07/10/2016
Le 2ème album DUSTY SHELTERS du Anne Quillier 6tet vient tout juste d'être enregistré au Studio L'Artscène avec Adrian Bourget aux commandes !!
Le temps de fabriquer la pochette, de faire le master, et de presser tout ça, il sortira le 13 janvier prochain sur le Label Pince Oreilles et Inouie Distribution. En attendant vous pouvez écouter ces 2 titres enregistrés en live l'hiver dernier à la Fraternelle de Saint-Claude :
Les prochains concerts :
21 octobre 2016 - AMR Genève/Festival Jazz Contrebande
25 novembre 2016 - Jazz à Fareins
14 janvier 2017 - Mjc des Carrés (73)
20 janvier 2017 - Chorus Jazz Club
8 avril 2017 - Théâtre de Chamalières (63)
Press
"Anne Quillier était interviewvée dans Action Jazz ce mois ci : http://fr.calameo.com/read/00289603908fe76fb9f12"
Annie Roubert
fr.calameo.com/read/00289603908fe76fb9f12
"L'orchestre impossible d'Andy Emler et ses trente talents:
Ils sont arrivés en chantant, quelque chose comme « pa-dou-ba-doum-ba/pa-doum-ba », marquant le rythme d’une frappe sur la poitrine. Vingt-neuf garçons et une fille, sous la direction du pianiste et compositeur Andy Emler, vendredi 23 juin, sur la scène installée sur l’esplanade de la Défense, au centre du quartier des affaires des Hauts-de-Seine. Deux heures plus tard, le même chant, des sourires radieux, ravis d’avoir participé et mené à bien, formidablement, le concert anniversaire des 40 ans du Concours national de jazz de la Défense (...)
Avec dix pianistes, cinq batteurs, deux contrebassistes, deux bassistes électriques, un cornettiste et chanteur, six saxophonistes, un clarinettiste, un tromboniste… De leurs personnalités et parcours respectifs est venue l’écriture. Pas pour que la troupe se retrouve au complet de bout en bout, mais pour nourrir des formats variés, des ensembles inédits. Qu’Emler, main de maître, mène du jazz au funk, du dodécaphonisme à une mélodie enfantine, d’hymnes façon pop à des rythmes contrariés, d’harmonisations sophistiquées à des poussées rock.
D’un septette initial de jazz contemporain, avec notamment la pianiste Anne Quillier et le flûtiste Michel Edelin, on passe à une pièce étale, impressionniste, avec deux synthétiseurs, le clarinettiste Pierre Horckmans en soliste. Bientôt, tous les vents sont là, avec une double rythmique, un orgue vibrant, qui mène vers une ambiance soul. Il y a des grandes folies de big band free, l’apaisement d’un solo du guitariste Nguyen Lê, huit pianistes deviennent percussionnistes… Cette musique d’un soir, à l’écriture rigoureuse autant qu’elle ouvre à des improvisations de haut vol, Andy Emler la dédie à André Francis, présent parmi le public, homme de radio, écrivain, peintre, photographe qui créa le Concours. Et celle et ceux qui sont sur la scène le saluent."
Sylvain Siclier
www.lemonde.fr/musiques/article/2017/06/24/l-orchestre-impossible-d-andy-emler-et-ses-trente-talents_5150492_1654986.html
"Le Anne Quillier 6tet et Grégory Sallet 5tet était sur One Man's Jazz
Sometimes when I put these weekly One Man’s Jazz shows together, I have to marvel at the amazing variety and directions that this music comes from. This week’s one of those. There is jazz and poetry, music from ten different countries, tunes from a record label that’s changing the creative music landscape in Los Angeles (Orenda), brilliant female pianists, current top names like Ambrose Akinmusire and Chris Potter, the very cutting edge of players like Alexander Hawkins from the UK and even some good old blues to make you smile. I hope you take time to listen to this one, available now at One Man’s Jazz and next Thursday, June 20 at 9 pm EDT on taintradio.org."
Maurice Hogue
www.facebook.com/onemansjazz/?pnref=story
"La construction musicale est faite de manière à laisser le maximum de place aux chorus. Les lignes mélodiques sont imagées. Les solistes en profitent pour laisser leur imagination s'évader pendant que les soufflants contribuent aux percussions en jouant des tampons de leurs instruments.
La fine fleur de la nouvelle génération jazz a du champ libre pour offrir au public de belles improvisations, encadrée par une section rythmique implacable. On peut ainsi apprécier la technique et la créativité de ces musiciens talentueux."
Eric Torlini
www.jazz-rhone-alpes.com/
"Anne Quillier était à la Une de Citizen Jazz à l'occasion de la sortie du 2ème album de son 6tet: DUSTY SHELTERS !
Vous pouvez retrouver ici une interview réalisée en novembre :
http://www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-3474252.html"
Raphaël Benoit
"Le propos est abouti, intimiste, voire introspectif. Une musique qui se creuse, laissant apparaître des trésors au fil des huit morceaux de l’album.
Les collaborations qui tiennent dans la durée, on a beau dire, ça donne de belles choses, et ce Dusty Shelters l’illustre parfaitement."
Raphaël Benoit
www.citizenjazz.com/
"Ce qui signe la musique d’Anne Quillier, c’est sa science des tensions/relâches, des surprises, des univers singuliers. La musique de Quillier raconte des histoires avec des mélodies accrocheuses, des rythmiques qui font bouger les pieds, tout en étant très personnelle et complexe dans son architecture."
Julien Gros-Burdet
www.citizenjazz.com
"Pour le deuxième album de son passionnant sextette, la pianiste et compositrice Anne Quillier continue d’explorer un univers musical singulier et attachant, nous proposant une musique aux ambiances atmosphériques contrastées, mais toujours portée par une fougue lyrique qui met en avant les talentueux solistes de cette formation. Aurélien Joly (tp), Pierre Hockmans (cl) et Grégory Sallet (sax) tirent fort bien leur épingle d’un jeu collectif magnifiquement mis en scène par Anne Quillier à travers des compositions aussi belles qu’exigeantes."
Lionel Eskenazi
www.jazzmagazine.com/le-magazine/jazz-magazine-n692/
"La pianiste et compositrice met en place une dramaturgie musicale qui ne peut laisser indifférent.
C’est original et convaincant. Anne Quillier possède pleinement l’art et la manière de traduire en musique l’émotion dans sa fondamentalité."
Yves Dorison
www.culturejazz.fr/spip.php?article3086
"Ce n'est pas rien d'aborder un disque comme Dusty Shelters.
Les pistes se tracent, les univers s'entrecroisent, les souvenirs percutent le futur ; et nous, dans notre présent, sommes bousculés dans les effondrements et les constructions que cet album enchasse comme si le tout et le rien n'étaient que d'un seul tenant.Dusty Shelters, c'est la beauté d'une angoisse mutée en source d'un nouvel espoir."
Sylvain Damy
damysylvain.wixsite.com/glasba/disques-2017
"The Best New Jazz on Bandcamp
There is an enthusiasm to the newest from pianist Anne Quillier that is positively infectious. It gives a jolt of electricity to the tempos and lets the melodies sing with abandon. The half of the sextet comprised of woodwinds pull at the seams of the harmony, adding a deeper texture to the melody. Everything about this album gives the impression of musicians in the studio having nothing but fun, delighting in surprises from the soloists and celebrating each moment the ensemble comes together in unison at just the right time. It’s too early in the year to be saying things like “this is the best thing I’ve heard all year”… but this is the best thing I’ve heard all year."
Dave Sumner
daily.bandcamp.com/2017/02/17/the-best-new-jazz-on-bandcamp-2/
"Après un premier disque remarqué (« Daybreak », enregistré en 2014), Anne Quillier confirme son talent de compositrice et de leader. L'écriture est très élaborée, inscrite dans une dramaturgie musicale subtile où les solistes s'insèrent comme par magie. Pas d'ostentation, pas d'artifices, rien que le désir d'aller droit au cœur de la musique, dans une pulsation forte, que la surprise et la fantaisie mettent parfois en suspens. Décidément, Anne Quillier est bien un talent avec lequel il faut compter : puisse ce disque le faire savoir à ceux qui ont rôle, mission et pouvoir de faire entendre les artistes, sur scène et dans les media."
Xavier Prévost
www.lesdnj.com/2017/02/anne-quillier-6tet-dusty-shelters.html
"Les thèmes s'enchaînent, les paysages défilent, les impressions changent, les rythmes alternent. La musique est intimiste, jouée à six pour la multitude. Le message passe car il s'adresse à nos tripes.
Vraiment le "Quillier nouveau" nous a empli de bonheur. Vite le nouveau CD !"
Pascal Derathé
www.jazz-rhone-alpes.com/161128/
"Disons-le tout net, la musique vive, forte et dense, pleine de rebondissements, que propose Anne Quillier dans son tout nouveau programme inspiré par les BD de Manu Larcenet ou de Vijay Iyer, nous a convaincu par sa puissance rythmique et cohérence orchestrale avec ses savants tissages de voix, ses coulissages de textures sonores habilement agencées. ... Tonnerre d’applaudissements ! Pas de doute, le public qui découvrait le sextette pour la première fois fut conquis. Quant à Anne, elle avoua alors aux spectateurs sa grande émotion d’avoir pu jouer en première partie de la grande Carla Bley, celle qui lui avait donné à ses débuts l’envie d’écrire et de composer."
Pascal Anquetil
www.jazzmagazine.com/jazzpote-a-thionville-grand-petit-festival/
"Parler de ce sextet Rhône-Alpin et de son tout premier album “Day Break“, c’est tenter de comprendre une composition aux allures picturales, une alchimie entre instruments savamment improvisée. Car l’écriture de cette musique ressemble étrangement à la composition d’un tableau, celui d’une exposition, non pas de Moussorgski mais plutôt celle d’un thème de départ, pas toujours jazzy. La pianiste Anne Quillier semble utiliser sur sa palette de composition, les couleurs, les textures de chaque instrument, et ceci touche par touche, point par point. A l’écoute de l’album, la dimension impressionniste exhale de ses toiles musicales, tissées méticuleusement avec le fil des pianos. Parfois la maille peut-être répétitive, obsédante à l’infini, une boucle rythmique identique qui n’avance que par des changements de ton progressif, une forme de tension sur les cordes d’un filet faussement rassurant, qui ferait rebondir chaque musicien, une fois en bas, deux fois plus haut.
"
Thierry Gautier
www.jazz-rhone-alpes.com/
"Tout ça respire la cohésion, l’écriture équilibrée, les soli assumés. Comme un mix heureux de fraîcheur enjouée et d’aisance de vieux routiers.
Ils jouent comme si la partie n’était pas gagnée. La simplicité apparente des thèmes la joue poupée gigogne : un premier mouvement qui sonne comme un tout en cache un second ...Le pupitre de souffleurs est mis à contribution dans un usage malin de ses timbres : les trois ensemble bien sûr et aussi les différents duos possibles. Magnifiques couleurs !!!
Et ils osent pousser le bouchon jusqu’au bord du lâcher prise, au ras de la corniche : encore un pas et ils sautent..."
Alain Gauthier
www.culturejazz.fr/spip.php?article2854
"A chaque région, sa scène jazz : Rhône-Alpes a, entre autre, la chance d’héberger Anne Quillier. Ancienne élève du conservatoire de Chambéry, la pianiste fait partie du collectif Pince-Oreilles. Outre Watchdog, un duo avec le clarinettiste Pierre Horckmans, et Blast, un trio avec Horckmans et le batteur Guillaume Bertrand, Quillier anime également un sextet depuis 2011. Daybreak est le premier disque de cette formation, publié par le label du collectif. A Horckmans et Bertrand, s’ajoutent Aurélien Joly à la trompette et au bugle, Grégory Sallet aux saxophones alto et soprano et Michel Molines à la contrebasse.
Daybreak, un mot souvent employé par les musiciens de jazz et de blues, est un bel hommage à l’éclectisme : de Jimmy Smith (disque homonyme de 2002) à Frank Sinatra (chanson éponyme de 1963), en passant par Dave Burrell et David Murray (1989), mais aussi Pat Metheny (New Chautauqua – 1979), sans oublier le « Daybreak Express » de Duke Ellington… Huit des neuf morceaux sont signés Quillier et « Lost Continuum » est d’Horckmans. « Chanson Épique pour les superhéros injustement méconnus » est judicieusement dédié à l’auteur du neuvième art, Manu Larcenet, notamment créateur de la série culte… Blast. Quant à « Dance With Robots », Quillier le dédicace à son confrère Vijay Iyer.
Les mélodies sont séduisantes (« Last Flight »), les rythmes expressifs (« Lost Continuum »), les harmonies modernes (« La longue ascension ») et le sextet sonne comme une fanfare gaiement nostalgique (« Chanson épique… »), quelque part entre Carla Bley (« Hymne obsédant ») et Bruno Régnier (« Lignes troubles »). Remarquablement habile, la construction des morceaux mise sur des ruptures d’intensités sonores (« Dance With Robots »), des changements de climats (latin et klezmer dans « Aaron’s Piece ») et des contrastes entre unissons (« Lost Continuum »), pédales (« Hymne obsédant »), ostinatos (« Ondes de choc ») et contrepoints (« Lignes troubles »). Même si Quillier laisse suffisamment d’espace pour que les musiciens prennent des chorus, l’entrelacs des voix et l’organisation plutôt verticale de la musique mettent en avant le groupe, plutôt que les solistes.
Aux manettes de son 6Tet, Quillier sait parfaitement doser réalisme et abstraction, tension et subtilité : Daybreak est une réussite… un point du jour étincelant !
"
Bob HATTEAU
sites.google.com/site/improjazzmag/home/chro201511
"Une musique vibrante, construite finement en jouant des riches textures, qui fait la part belle à un trio de soufflants délicats. Chacun a un bel espace de jeu dans les compositions de ce jazz de chambre, toutes de la pianiste qui sait impulser une réelle dynamique aux garçons qui l’entourent. L’inspiration peut provenir de la BD de Manu Larcenet, pour le premier titre «Chanson épique pour les superhéros injustement méconnus" ou de Vijay Iyer dans «Dance With Robots». Qu’importe! La musique a une réelle cohérence, une édification propre, enflant en crescendo pour finir sans aucune résolution."
Sophie Chambon
www.jazzmagazine.com/index.php/le-jazz-live/1216-jazz-campus-en-clunisois-de-chateau-en-abbaye-les-19-et-20-aout
"Pour conclure la soirée, la pianiste et compositrice Anne Quillier présentait son sextette, Grand prix du Concours de Jazz de La Défense en 2013. Belle écriture faite de polyphonies subtiles, riches en couleurs et alliances de timbres, avec de grandes nuances. Manifestement, il faudra compter désormais avec cette musicienne, pour son talent d'écriture et de soliste autant que pour sa faculté de rassembler et diriger un groupe. Une fois encore Jazz Campus en Clunisois, et Dider Levallet, ont su partir à la découverte de nouveaux talents !"
Xavier Prévost
www.lesdnj.com/2015/08/une-escale-en-clunisois-oboreades-anne-quillier-sextet-duo-marais-ternoy.html
"On verra dans les deux dédicataires des premiers morceaux de Daybreak un presqu’indice sur la teneur du disque. Ces deux personnes sont Manu Larcenet et Vijay Iyer. Pas grand-chose à voir à priori, pourtant l’écoute du sextet d’Anne Quillier apporte une logique certaine, puisque sa musique est tout à la fois pourvue (tour de force), de la rigueur mathématique du pianiste et de la fantaisie de l’auteur dessinateur, qui s’ombre parfois d’épisodes où prévaut le sentiment."
Olivier Acosta
www.mozaic-jazz.com/2015/07/anne-quillier-sextet-daybreak.html
"Nous sommes définitivement conquis par Anne Quillier qui excelle au piano et au Fender Rhodes, ainsi que par ses complices ... Une chose est sure, si cet album n'est que "l'aube" (Daybreak), alors attendons impatiemment la journée qui la suivra.
"
Dom Imonk
www.calameo.com/read/0028960393c924db44835
"Avant tout, pour nous tous, une addition de plaisirs qui déborde largement du cadre du jazz au sens strict : Anne Quillier écrit de belles histoires d’aujourd’hui (il suffit de lire les titres des compositions comme une seule et même phrase pour en deviner les contours et le rythme), qu’elle partage et donne envie de partager. Daybreak n’est qu’un début, et donnerait presque envie de vieillir un peu pour, déjà, connaître la suite."
Merci à Denis Desassis pour l'article!
Daybreak est en ligne sur https://labelpinceoreilles.bandcamp.com/album/daybreak.
"
Denis Desassis
www.citizenjazz.com/Anne-Quillier-6tet.html
"Au Périscope, le sextet d’Anne Quillier tenait toute la scène et tint toutes ses promesses. Ne les ayant jamais vus en concert auparavant, force me fut de constater que ce sextet fait cohabiter l’excellence musicale individuelle et la cohésion plénière au service d’une musique explicitement originale.
Ce que l’on avait écouté sur disque est plus expressément manifeste encore sur scène. C’est une sorte de réalité augmentée qui donne à cette musique, splendide en tout point, une dimension supplémentaire, une empathie empreinte de complicité et de générosité qui déclenche la sympathie de l’auditeur."
Yves Dorison
www.culturejazz.fr/spip.php?article2618
"Workshop de Lyon, l’Arfi,... la région lyonnaise sait produire des laboratoires de musique. Preuve en est, le jeune Collectif Pince Oreilles qui déborde d’initiatives créatrices...Les compositions d’Anne Quillier sont des invitations à de grandes conversations entre instruments... Un jazz jeune, pétillant, plein de fougue et que l’on sent nourri d’influences multiples, ce qui lui apporte une cohérence d’un grand naturel."
DanDan WARZY
/www.journalzibeline.fr/critique/jazz-en-collectif/
"(les musiciens du Pince Oreilles) en occupent l'espace avec savoir-faire, et de belles audaces. Et pour vous en convaincre, écoutez le beau Lignes Troubes d'Anne Quillier…avec le parfait ourlé de son arrangement et le solo inspiré et très "wheelerien" d'Aurélien Joly…
Daybreak est RÉVÉLATION Jazz Magazine."
Philippe Méziat
www.jazzmagazine.com
"Daybreak est une incontestable réussite, un disque d’une grande maturité qui ne dévoile ses charmes qu’écoute après écoute, tant ses constructions savamment élaborées, ses arrangements au cordeau et la cohésion de l’ensemble constituent une petite somme de richesses accumulées qu’on n’épuise pas en une seule fois."
Denis Desassis
maitrechronique.hautetfort.com/archive/2015/01/21/pincez-moi-et-dites-moi-qui-est-anne-5541554.html
"« Daybreak », « Le point du jour », « Le lever du jour »… dans tous les cas la naissance d’une formation originale dont la musique séduit dès son formidable premier titre -qui est tout un poème à lui seul- : « Chanson épique pour les superhéros injustement méconnus »."
Jean-Louis Libois et Yves Dorison
www.culturejazz.fr/spip.php?article2606
"Oriundos de Francia, estos músicos tocan juntos desde hace tres años. Se mueven cómodamente en un lenguaje complejo y lleno de sutilezas, se trata de un jazz muy libre aunque sus partes están cuidadosamente escritas, una música muy cautivante."
www.babel.com.uy/innovaportal/v/64623/27/mecweb/segunda_jornada_de_jazz_a_la_calle?parentid=44733
"A la manière d’un conte, chaque instrument participe à l’élaboration d’un hommage, d’une scénette, d’un tableau, un peu comme dans le Pierre et le Loup de Prokofiev. Ainsi, « Onde de choc » est une longue réplique durant laquelle la musique va crescendo ; « Danse with robot » comporte immanquablement un rythme hyper carré. Cependant, la musique est ponctuée par des bribes de mélodies que je rapproche un peu de celle des films des années 1970, celle de Deroubaix par exemple. Rythmé et chantante."
Prise2notes
"Le Sextet d’Anne Quillier, vainqueur du tremplin jazz de la Défense, a débuté la soirée avec beaucoup de grâce. Elle est l’auteure de toutes les compositions jouées, et l’on est impressionné par une telle qualité d’écriture. L’ambiance est celle d’un jazz très moderne, beaucoup d’espace, de changements.
Le groupe est soudé, très réceptif, et les musiciens sont tous très talentueux."
Dom Imonk
www.actionjazz.fr/jazz360-millesime-2014-du-jazz-en-vision-grand-angle/
"Très rapidement, Anne Quillier et ses compagnons ont conquis le public. Le répertoire moderne, entièrement composé de thèmes originaux de la plume d'Anne pour la plupart, et quelques uns de celle de Pierre, est tout simplement superbe.
"
Charles Hug